France, 1907 : Lieu de rendez-vous où les ébats des amoureux sont livrés, à leur insu, à la curiosité lascive de jeunes et vieux débauchés par d’imperceptibles lucarnes. Les messieurs sont appelés les voyeurs.
Quant à ses aventures anacréontiques, s’il faut ajouter foi à tout ce qu’on raconte, elles atteindraient un chiffre assez considérable pour le placer au nombre des jouisseurs les plus émérites et les plus effrénés ; mais il est à regretter, dit-on, qu’il ait quelquefois recherché ses favorites parmi les habituées des maisons de verre telles que celle de la rue Duphot, lesquelles servent de rendez-vous aux amours aussi faciles que libertines, et que tolère avec tant de complaisance la police des mœurs.
(Numa Gilly, Mes Dossiers)